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Les spécificités du management associatif aujourd’hui


A) Sur le plan humain

- « Identifier des besoins humains non satisfaits et traduire des aspirations nouvelles » est à la base du fait associatif, comme le remarque une militante de l’UNAPEI.
Grâce aux associations les citoyens s’organisent pour faire remonter les manques de la vie quotidienne, les problématiques ignorées, les scandales non dénoncés.

- Par rapport à ces besoins et ces aspirations « il y a toujours quelque chose à faire » et ce « quelque chose » peut mener très loin.

Le management d’une association porte souvent les responsables au-delà de leurs limites, en raison de la dimension du projet associatif lui-même. Le professeur Thierry Sibieude écrit à propos d’une étude intitulée « changer d’échelle » : « Il s’agit de lutter contre l’essoufflement, voire l’épuisement des équipes face à des tâches dont, le plus souvent, la dimension et l’ampleur dépassent de toute façon les capacités humaines de l’entrepreneur (associatif) et celles du noyau de compétences qu’il a réunis. »

-Dans ce dépassement de soi l’apport du bénévolat se renforce. Les bénévoles sont, en effet, de plus en plus compétents et décidés à « professionnaliser » leur action pour mieux assumer leur engagement. De leur côté, les associations leur font des demandes rattachées à des missions précises qui exigent un vrai savoir-faire.

-Les bénévoles élus que sont les administrateurs ne représentent pas des actionnaires, ils représentent les hommes et les femmes choisis par les adhérents. La crise du recrutement des élus, spécificité associative très grave, oblige certains administrateurs à rester en poste plus longtemps qu’ils ne le voudraient ou ne le devraient.
Il faut donc savoir gérer le Conseil d’Administration de l’association, et en particulier savoir recruter et fidéliser les administrateurs.

-La gestion des salariés, elle aussi se confronte à des problèmes inhérents aux associations. Les salaires sont plus bas, la disponibilité doit être encore plus large compte- tenu du fait qu’il faut souvent s’adapter aux horaires des bénéficiaires et des bénévoles. La présence de ces derniers peut inquiéter les salariés s’ils y voient une concurrence potentielle même si, comme l’affirme France Bénévolat, « un bénévole est tout sauf un salarié non rémunéré. »

B) Sur le plan de la gouvernance

-Il y a une vraie spécificité « au sommet » qui tient, surtout dans les grandes associations, dans la séparation des pouvoirs entre président, responsable notamment de la politique de l’association, de la cohérence de la stratégie avec le projet associatif et directeur général, chargé de la mise en œuvre de la politique.

-En l’absence de la notion de profit financier la gouvernance associative doit prendre en compte celle d’évaluation qui permet à l’association de se situer par rapport à ses objectifs et par rapport aux performances d’autres organisations du même champ d’action.

-Cette évaluation donne les clés de l’utilité sociétale de l’association et concerne toutes les parties prenantes.

C) Sur le plan du modèle économique et des ressources financières

Alors que l’entreprise s’autofinance par son activité c’est très rarement le cas de l’association qui dépend de financements extérieurs publics ou privés.
-Les subventions sont encore la première source de financement mais il faut prendre en compte la complexité croissante des démarches à entreprendre et des dossiers à remplir et la nécessité d’obtenir des résultats apportant des bénéfices sociaux et permettant autant que possible une évaluation.

-Le mécénat demande un très bon savoir-faire et il en va se même pour tout partenariat avec les entreprises. Le temps du partenariat « bonnes œuvres » est aboli. Les associations doivent intégrer la notion de Responsabilité Sociétale des Entreprises. Deux mondes différents se rapprochent et il est urgent d’évacuer une méfiance culturelle réciproque.

-Le marketing direct touche moins de 200 associations mais n’en constitue pas moins un domaine spécifique aux associations avec tout ce qu’implique la notion de don. Il se développe aussi un marketing des legs.

-La facturation de produits ou de servicesn’est pas fondée sur une démarche identique à celle d’une entreprise : elle est souvent effectuée en dessous du prix de revient car elle offre des services qu’une entreprise ne peut ou ne veut assurer à des bénéficiaires qui n’ont pas toujours les moyens de payer à un tarif suffisant. Le déficit de marge doit donc être compensé, par des subventions par exemple.

D) Sur le plan de la communication

-Impossible de « changer le monde » sans le faire savoir mais les associations doivent trouver les moyens de ne pas dépenser en communication des fortunes qu’elles n’ont pas.
Elles doivent apprendre les bases élémentaires d’une communication cohérente et efficace, investir sur des documents de base, favoriser le bouche à oreilles, avoir une stratégie éditoriale avec presse et radios.
Elles n’ont en général pas les moyens de prendre les services d’une agence, encore moins d’acheter des espaces publicitaires. Il leur faut donc chercher des accords avec des spécialistes et négocier des prix bradés pour les achats d’espace. Heureusement des agences acceptent souvent de travailler gracieusement pour des raisons internes (climat social bénéficiant de l’implication bénévole de collaborateurs tels que les créatifs) et pour des raisons d’image car par rapport à la concurrence elles créent ainsi une différence positive. Mais gratuité et qualité ne font bon ménage que si le partenariat est établi sur des bases claires.
Les associations peuvent aussi créer des événements qui permettent de rassembler les forces en interne et d’être repris par les médias locaux ou nationaux.

Vers un management associatif de plus en plus performant

A) La gestion du sens
Il reste encore du chemin à faire pour que l’association, qui existe parce qu’elle donne la priorité au sens, développe le management de sa « culture du sens ».
Docteur en sciences de gestion de l’École Polytechnique avec sa thèse «Gérer et militer », François Rousseau explique la nécessité de créer des outils adaptés pour manager la production du sens au sein de l'association et considérer cette activité de production au même titre que l'offre de services. « Des réflexions approfondies permettent de revenir au sens, au projet associatif ambitieux d’origine qui est souvent mis à mal par le succès associatif. La remise en cause de certains statuts, l’utilisation de nouveaux repères peuvent contribuer à «réassocier »l’organisation. » explique t-il.

B) Les raisons d’y croire
Comme l’explique Dominique Thierry, Vice-président de France Bénévolat, l’association est un lieu d’innovations et développe l’apprentissage à travailler en équipe et à fonctionner de façon collective avec des groupes de bénévoles sans hiérarchie formelle (absence de liens de subordination et autorité de compétences). Elle est championne de l’efficience (capacité à optimiser les moyens mis à sa disposition).

-Nombre d’associations sont aujourd’hui en situation de concurrence entre elles mais également avec des organisations privées (cf services à la personne), ou sous la dépendance de leurs financeurs.
Face à cette situation beaucoup d’entre elles saisissent les impératifs du management associatif, « management de plus en plus complexe dans le contexte juridique, fiscal et financier mais aussi logistique, légal et environnemental » que souligne Charles- Benoît Heidsieck, Directeur du Rameau.

-Tout le secteur associatif peut et doit s’impliquer.
En développant des outils communs, en pratiquant une mutualisation intelligente des moyens, en développant la formation et la recherche sur le management associatif dans son ensemble, en faisant la promotion du bénévolat, en créant des liens de partenariat, les associations renforceront leur rôle de modèle par rapport aux défis auxquels notre société doit faire face.

a mon avis capitain, Une association pour qu'elle fonctionne bien, il faut un petit noyaux qui prend les déssisions avec a sa tête la personne qui la fondé.

Si jamais le fondateur est foutu dehors de l'asso par le reste du groupe, cette association ne vaux plus la peine d'exister

Par contre il est claire que la personne a la tête doit pouvoir s'appuiller sur des personnes de confience qui l'épauleron dans ses prise de déssisions.
Comme un état mageor
en fin c'est ce que je pense ça peu ce discuter

Citation :

Une association pour qu'elle fonctionne bien, il faut un petit noyaux qui prend les déssisions avec a sa tête la personne qui la fondé.

je mets un bémol

Il y a plusieurs types de décisions

les orientations générales, les lignes d'action à tenir, l'organisation et les principes de fonctionnement doivent être effectivement cooptées par la majorité représentative de l'intérêt collectif

Mais, comme dans toute entreprise, effectivement il faut une équipe, restreinte, qui agisse dans le cadre des grandes orientations, et qui mettent un point d'honneur à faire vivre l'association

Mais là encore, un groupe collectif aussi petit soit il, doit avoir un membre décideur. Il y a des fois des décisions rapides, essentielles à prendre pour le bien de l'antité associative. La collégialité mène au systhéme de l'inertie de la 4ième République.
On va passer du temps à pesezr le pour le contre, et rien ne sera pris comme décision.
L'excécutif, c'est le rôle du "Président", ne trouvera la sanction à sa mauvaise gestion que s'il est mis en minorité, mais il doit pouvoir agir les mains libres et sans astreintes, sans menotte.

Citation :

Si jamais le fondateur est foutu dehors de l'asso par le reste du groupe, cette association ne vaux plus la peine d'exister

Et non, ce qu'il faut c'est une culture d'entreprise, c'est à dire:
- son fondement
- son concept
- son organisation
- ses moyens de fonctionnement
- ses devoirs et ses obligations
- ses sens vitaux

Il faut donc que chaque membre s'en impreigne, pour comprendre le fonctionnement du groupe, et pouvoir critiquer, positivement ou négativement, sans regner ce qui est l'essence même de l'éxistence de l'association

Il y a des bases qui ont été jetées, et il faut les connaître avant de porter un jugement ou de vouloir les modifier: d'ou l'expression dire tout et son contraire

Tout le probléme est la transmission de cette culture à d'autres membres actifs, qui vont assurer un jour la succession. Il ne faut donc pas de fracture brutale lors de passation de responsabilité pour que le groupe ne perde pas son identité, son homogénéité

Ce que je souhaite, c'est que certains d'entre vous s'imbibe de cette culture pour maintenir la cohésion, puis éventuellement vous amène sur d'autres terrains

Citation :

Par contre il est claire que la personne a la tête doit pouvoir s'appuiller sur des personnes de confience qui l'épauleron dans ses prise de déssisions.

C'est surtout que si on me demande d'être responsable, on ne m'impose pas et l'objectif, et les moyens qui ne sont pas ceux que je souhaite

Dans trop d'entreprise en France, on fixe aux cadres des objectifs, on leur dit comment les obtenir, et on s'étonne qu'ils n'y arrivent pas.

je parlé bien évidement de grosse asso,
il est evident qu'il faut au bout d'un moment, que pour le bon fonctionnement du groupe le président prenne des déssisions qui peuvent être frustrante pour certaines personne, mais c'est comme ça, si on est pas contant on est libre d'allez voir ayeur.

Il ne s'agit pas d'aller voir ailleurs

c'est trop facile, et ce n'est qu'une fuite en avant devant les problèmes

Il s'agit de dire ce qu'on a sur le coeur, d'échanger avec le responsable qui doit toujours être à l'écoute des membres,
et
si on estime qu'il y a un truc qui ne va pas, proposer une solution, non dire c'est la faute des autres, on m'a pas compris, ou je suis pas d'accord mais c'est pas mon probléme

oui c'est vrais
mais c'est pas facil de dire ce qu'on pense car si les personnes en face ne se remettent pas en questions, bin parfois on parle a un mure.
Et puis parfois faut avoir de la sagess,
Un jeune comme moi peu pas ramener sa fraise a tout bout de champ surtout que ça fait qu'un ans que je suis dans le club, faut savoir aussi se taire et axepter pour se faire apprécier.
Et quand on nous appréssi on peu dire ce qu'on pense bien évidement sans blaisser les gens.
En fin tu vois ce que je veux dire

salut vous deux

deux bémol avec le 2ème ohio j'ai conprie ma douleur,le responsable ;c'est
trop facile pour certain membres set une fuite en avant quand cela ne va pas dans leurs sens pour moi se etre aussi à l'écoute de sont responsabe de club.

sur tous quand il y a des problème on le voie actuellement
j'ai moi aussi fait un résumer ( la nuit porte conseil)

pepper

Salut à tous des suit d'un accident de voiture le 7è iowa n'à plus eu de président se qui a fait fait que mais gars on repris leur indépences

tous de deserteurs ces yankes

Bon, ben, je n'avais pas encore réagis sur ce topic, alors je vais lancer le ballon: le 14th (et/ou si on trouve un accord l'ACWRE en total) va se retrouver en ASBL Belge (Asso Sans But Lucratif, Old Belgium sais de quoi je parle, voir son GERHAN), C.A.D. que nous serons si tout marche bien assurés pour accidents en tout genres en déplacement pour le club, on pourra se trouver des sponsors, vendre des autocollants pour la caisse, faire des BBQ etc, et avoir une recette maxi de €5000 en caisse à la fin de l'année sans se prendre le fisc sur le dos. Le siège social devra obligatoirement se trouver en Belgique, mais les membres (fondateurs ainsi que simples membres) pouront ètre de toute l'Europe. Il y a encore du travail à faire, mais les choses avancent bien, et j'espère pouvoir recevoir le feu vert de notre président, la secrétaire, et les membres fondateurs du 14th... Il ne faudra pour ètre membre pas spécialement ètre de l'unité 14th Va, vu que sur les cartes de membre il y aura une mention de l'unité dont on fait partie, à moins que l'ASBL ne se nomme ACWRE, dans ce cas il n'y aura pas de problèmes. Nous avons déja un comptable qui veut bien travailler GRATOS pour nous, 1 sponsor Belge sur et un peut-ètre, bref, ça avance, mais je dois encore en parler avec les personnes nommées ci-dessus. Je vous tient au courant, cela devrait ètre très bénéfique pour le club si tout marche bien.

je suis à 100 % pour ,mais s'il vous plais que l'on garde l' ACWRE. car j'arrive tout juste à me faire à ce nom là. et puis ACWRE c'est européen et ça representera bien ce que l'on est une bande de copain europeén.

Du coup on pourra trouver d'autre sponsor dont peu être le
WEST WOOD RANCH si vous voulez, faudra juste me dire quel montant minimum vous voulez pour que je sponsorise le club en sachant que mon ranch va être reconnus, par la chambre d'agriculture de france, par la fédération française d'équitation et le comité national du tourisme équestre et aussi par le ministère de la jeunesse et des sports.
en sachant aussi que je suis en train de creer un cite internet et que je pourrai dire que je sponsorise l'ACWRE.

bon çà avance, je vais réfléchire pour moi aussi faire des proposition? pour le logo A.C.W.R.E. et bien je pense qu'il faut valider le conspete.

bon j'en et parler à mon ARMURIER comme Sponsor? il dit pas non, de plus cela donne pour les armes d'occasion, un plus a L'A.C.W.R.E. car en treux , il on un marché trés restrin, je me fait bien comprendre de vous tous.

J'en ai discuté le weekend passé avec notre chef vénèré, et lui aussi trouve que cela devrait se nommer "ASBL ACWRE", donc cela en sera ainsi. Par contre, j'ai bien peur que cela ne se fera qu'apres l'été 2010 ou bien début 2011, c'est un boulot immense de mettre tout ça sur papier comme il faut, mais j'y travaille comme un dingue, les statuts sont prèts à 80%, j'en discuterai avec nos membres présents à Beerse pour voir si je suis sur la bonne piste. A suivre...