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 Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865)

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MessageSujet: Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865)   Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865) EmptyLun 14 Mar - 19:43

DU BASIQUE MAIS UN BON RAPPEL

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MessageSujet: Re: Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865)   Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865) EmptySam 2 Avr - 19:23

état ! esclavagiste fidéle à l' UNION... Le MISSOURI.
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William Y W Ripley

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MessageSujet: Re: Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865)   Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865) EmptyDim 3 Avr - 20:29

il faudrait nuancé la carte ... les Etats comme le Missouri, le Kentucky voire même la Virginie ne se sont jamais impliqués profondément dans l'esclavage 10% de la population au Missouri, 20% au Kentucky et que 34% en Virginie (contrairement aux 59% de la Caroline du Sud ou les 55% du Mississippi)

ce ne sont pas des grands Etats à coton donc moins besoin de main d'œuvre servile

et ensuite les désigner comme étant restés fidèles à l'Union, ça se discute ... les sentiments étaient partagés (voir la sécession des comtés de l'Ouest de la Virginie)

Lincoln a interdit au début aux troupes de pénétrer au Kentucky, de peur de voir l'opinion populaire se retourner contre le Nord

et au Missouri au départ ce sont plutôt des "Home Guards" ou Milices qui se sont affrontées

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William Y W Ripley

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MessageSujet: Re: Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865)   Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865) EmptyDim 3 Avr - 20:44

ligne de front août 1861
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en août 1861, le Kentucky est encore considéré comme neutre, mais le Missouri est déjà occupé aux 2/3
le 3 Septembre Leonidas Polk allant occuper (sans ordre de ses chefs) Columbus au Kentucky, mettra fin à la neutralité de l'Etat

ligne de front septembre 1861
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MessageSujet: Re: Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865)   Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865) EmptyMer 6 Avr - 11:25

L'abolition dans les États du Nord[modifier]
Convention antiesclavagiste de 1840
Texte de Benjamin Franklin en faveur de l'abolition de l'esclavageArticle connexe : Antiesclavagisme aux États-Unis.Les premiers abolitionnistes américains se trouvent d'abord dans les sociétés Quakers de Pennsylvanie : dès 1688, trois d'entre eux, menés par Francis Daniel Pastorius, rédigent et publient la Protestation de Germantown (un quartier de Philadelphie), qui dénonce l'esclavage[48]. En 1759, les Quakers pennsylvaniens s'interdisent toutes pratiques esclavagistes[49]. En 1761, la colonie lève une taxe sur tout esclave importé à l'intérieur de ses limites[48]. En 1767, le livre d'Anthony Benezet connaît un certain succès jusqu'en Angleterre.

Dans les années 1770, la Société d’émancipation des Noirs libres et illégalement réduits à la servilité est fondée à Philadelphie[50]. Pendant la Révolution américaine, plusieurs intellectuels ont défendu les droits des Noirs comme Thomas Paine, l'auteur du Sens commun (1776)[50]. Durant ses dernières années, Benjamin Franklin (1706-1790) fut un fervent défenseur de l'abolition de l'esclavage (il libéra ses esclaves dès 1772). Thomas Jefferson, George Washington, James Madison et Patrick Henry militèrent au Congrès américain pour la suppression de l'esclavage[51]. Le premier président américain affranchit ses esclaves par testament[52].

L'esclavage est aboli en 1777 dans le Vermont[49],[53], en 1780 en Pennsylvanie[54], en 1783 dans le Massachusetts[55] et le New Hampshire[52]. Une loi de 1782 votée en Virginie entraîne la libération de 10 000 Noirs en dix ans[56]. En 1794 est créée la Convention des sociétés abolitionnistes à Philadelphie[57]. En 1783, le Maryland interdit l'importation d'esclaves[58]. En 1786, la Caroline du Nord augmente fortement les droits sur l’importation des esclaves ; l’esclavage disparaît au nord des États-Unis au début 19e siècle[58]. La Caroline du Sud interdit la traite en 1803[56].

L'Ordonnance du Nord-Ouest (1787) interdit l'esclavage dans le territoire du Nord-Ouest[59],[60],[52] et établit de fait la limite entre les états esclavagistes et les autres sur l'Ohio. La traite négrière est abolie officiellement en 1808, même si les contrebandiers la poursuivent clandestinement pendant plusieurs années[61].

Pourtant, lorsque la Constitution américaine entre en vigueur le 4 mars 1789, elle ne remet pas en cause l'esclavage pratiqué dans les États du Sud, afin de garantir l'union de la jeune nation. Si les esclaves sont exclus de la citoyenneté, les États du Sud réclament qu'ils soient comptabilisés dans le recensement qui doit permettre la répartition des sièges à la Chambre des représentants. Cette revendication qui avantagerait considérablement les États-Unis du Sud aboutit à un compromis connu sous le nom de « clause des trois cinquièmes » ; cette disposition ajoute au total de la population libre des différents États « les trois cinquièmes de toutes autres personnes » vivant sur le territoire, c'est-à-dire les esclaves qui, comme dans l'ensemble de la Constitution, ne sont pas désignés directement[62]. L’attorney général du Maryland Luther Martin, représentant de son État à la convention de Philadelphie, refusa la constitution parce qu’elle ne condamnait pas l’esclavage explicitement. La Société de Pennsylvanie pour l'abolition de l'esclavage fit circuler une pétition, signée notamment par Benjamin Franklin en 1790[63]
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MessageSujet: Re: Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865)   Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865) EmptyMer 6 Avr - 11:27

L'abolition dans les États du Nord[modifier]
Convention antiesclavagiste de 1840
Texte de Benjamin Franklin en faveur de l'abolition de l'esclavageArticle connexe : Antiesclavagisme aux États-Unis.Les premiers abolitionnistes américains se trouvent d'abord dans les sociétés Quakers de Pennsylvanie : dès 1688, trois d'entre eux, menés par Francis Daniel Pastorius, rédigent et publient la Protestation de Germantown (un quartier de Philadelphie), qui dénonce l'esclavage[48]. En 1759, les Quakers pennsylvaniens s'interdisent toutes pratiques esclavagistes[49]. En 1761, la colonie lève une taxe sur tout esclave importé à l'intérieur de ses limites[48]. En 1767, le livre d'Anthony Benezet connaît un certain succès jusqu'en Angleterre.

Dans les années 1770, la Société d’émancipation des Noirs libres et illégalement réduits à la servilité est fondée à Philadelphie[50]. Pendant la Révolution américaine, plusieurs intellectuels ont défendu les droits des Noirs comme Thomas Paine, l'auteur du Sens commun (1776)[50]. Durant ses dernières années, Benjamin Franklin (1706-1790) fut un fervent défenseur de l'abolition de l'esclavage (il libéra ses esclaves dès 1772). Thomas Jefferson, George Washington, James Madison et Patrick Henry militèrent au Congrès américain pour la suppression de l'esclavage[51]. Le premier président américain affranchit ses esclaves par testament[52].

L'esclavage est aboli en 1777 dans le Vermont[49],[53], en 1780 en Pennsylvanie[54], en 1783 dans le Massachusetts[55] et le New Hampshire[52]. Une loi de 1782 votée en Virginie entraîne la libération de 10 000 Noirs en dix ans[56]. En 1794 est créée la Convention des sociétés abolitionnistes à Philadelphie[57]. En 1783, le Maryland interdit l'importation d'esclaves[58]. En 1786, la Caroline du Nord augmente fortement les droits sur l’importation des esclaves ; l’esclavage disparaît au nord des États-Unis au début 19e siècle[58]. La Caroline du Sud interdit la traite en 1803[56].

L'Ordonnance du Nord-Ouest (1787) interdit l'esclavage dans le territoire du Nord-Ouest[59],[60],[52] et établit de fait la limite entre les états esclavagistes et les autres sur l'Ohio. La traite négrière est abolie officiellement en 1808, même si les contrebandiers la poursuivent clandestinement pendant plusieurs années[61].

Pourtant, lorsque la Constitution américaine entre en vigueur le 4 mars 1789, elle ne remet pas en cause l'esclavage pratiqué dans les États du Sud, afin de garantir l'union de la jeune nation. Si les esclaves sont exclus de la citoyenneté, les États du Sud réclament qu'ils soient comptabilisés dans le recensement qui doit permettre la répartition des sièges à la Chambre des représentants. Cette revendication qui avantagerait considérablement les États-Unis du Sud aboutit à un compromis connu sous le nom de « clause des trois cinquièmes » ; cette disposition ajoute au total de la population libre des différents États « les trois cinquièmes de toutes autres personnes » vivant sur le territoire, c'est-à-dire les esclaves qui, comme dans l'ensemble de la Constitution, ne sont pas désignés directement[62]. L’attorney général du Maryland Luther Martin, représentant de son État à la convention de Philadelphie, refusa la constitution parce qu’elle ne condamnait pas l’esclavage explicitement. La Société de Pennsylvanie pour l'abolition de l'esclavage fit circuler une pétition, signée notamment par Benjamin Franklin en 1790[63].

Conséquences politiques de l’expansion vers l'Ouest[modifier]
29 janvier 1850 : Henry Clay introduit le compromis de 1850 au Sénat.Avec l’expansion territoriale vers l'Ouest, l’esclavage devient progressivement un enjeu politique majeur du débat politique américain, cristallisant l’opposition croissante entre le Nord et le Sud du pays. La question de l’esclavage, en faisant « éclater la contradiction entre la servitude et la liberté »[64], met en cause le fondement même de la démocratie américaine.

Alors que le camp esclavagiste tente d’étendre cette institution aux nouveaux États candidats à l’Union et que les antiesclavagistes modérés essaient au contraire de stopper l’expansion de l’esclavage, une série de compromis politiques préserve l’unité du pays en maintenant l’équilibre numérique entre États esclavagistes et États libres qui conditionne l’égale représentation des deux tendances au Sénat.

Le premier d’entre eux, le compromis du Missouri ou compromis de 1820, répond à la crise suscitée par l’entrée dans l’Union du nouvel État du Missouri où vivent déjà des esclaves. Pour faire contrepoids à ce nouvel État esclavagiste, un nouvel État libre, le Maine, est détaché du Massachusetts.

La controverse s’anime à nouveau avec la perspective de l’admission du Texas et plus encore de la Californie, le cas de cette dernière étant finalement réglé par le compromis de 1850. Le nouvel État peut intégrer l’Union en tant qu'État libre en échange de deux mesures : le renforcement du Fugitive Slave Act qui confie désormais à l’administration fédérale le pouvoir de restituer les esclaves fugitifs qui auraient trouvé refuge sur le territoire des États libres et la garantie que les territoires du Nouveau-Mexique et de l'Utah décideront, sans intervention du pouvoir fédéral, du maintien ou de l'abolition de l'esclavage au moment de leur entrée dans l’Union. En outre, le commerce des esclaves est interdit dans le district fédéral de Columbia[65].

L'acte Kansas-Nebraska vient confirmer en 1854 l’ascendant des esclavagistes au Congrès. Il affirme que l’État fédéral ne pourra pas se prononcer sur le statut conféré à l’esclavage dans ces deux futurs États, la décision en étant réservée à ses habitants selon le principe de la squatter sovereignty[66]. La ligne de partage, établie par le compromis du Missouri, qui restreignait l’esclavage au sud du 36°30’ parallèle est elle aussi implicitement remise en cause. La loi aboutit sur le territoire du Kansas à une série d’affrontements qui lui vaut le surnom de Bleeding Kansas (Texas sanglant).

Elle entraîne également une importante recomposition du paysage politique américain. À compter de 1840, la question de l’esclavage a provoqué l’apparition de nouveaux partis dont l’influence est restée réduite : le très minoritaire Parti de la Liberté, avait fait de l’abolition de l’esclavage sa raison d’être[67] avant d’être rejoint en 1848 par des dissidents du Parti Whig et du Parti démocrate pour former le Parti du sol libre (Free Soil Party) [68]. Ce groupe se fond en 1854 dans le Parti républicain naissant qui appelle à l’annulation de la loi Kansas-Nebraska et à l’arrêt de l’expansion de l’esclavage
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MessageSujet: Re: Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865)   Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865) EmptyMer 6 Avr - 11:39

C'est un extrait de l'article qu vous trouverez sur le site de l'encyclopédie WIKIPEDIA à l'adresse suivante:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_aux_%C3%89tats-Unis

L'émancipation n'étant pas la cause de la guerre, mais le devenant sous la pression internationale, il ne faut cepedant pas oublié qu'il y avait lors de la déclaration de guerre une large minotité certe, mais quelques états de l'Union pour le maintien de l'esclavagisme sur leur territoire
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MessageSujet: Re: Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865)   Les États-Unis et la guerre de Sécession (1861-1865) EmptyMer 6 Avr - 12:41

Et, comme il a déjà été souligné, de nombreux soldats sudistes n'étaient pas concernés par l'esclavage car il ne possédaient pas de main d'œuvre servile. L'esclavage faisait partie de l'économie sudiste mais, contrairement aux croyances populaires, tous les sudistes n'étaient pas propriétaires d'esclaves... Certains sudistes étaient même critiques vis-à-vis de "l'institution particulière" (comme Robert E. Lee).
C'est comme dire que le coton était produit à grande échelle dans tous les états. Si le sud était un gros producteur de coton, seuls quelques états étaient concernés comme le démontre la carte sur ce lien:
http://www.cr.nps.gov/seac/beneathweb/ch13/m21.jpg
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