Je ne suis pas tout à fait d'accord:
Je pense que chacun doit librement pouvoir jouir des loisirs qu'il désire.
En ce qui concerne les armes, elles doivent être évaluées en fonction de ce que l'on attend d'elles. Mais une chose est sûre, pour le tir à balle, elles doivent être éprouvées par un organisme agréé.
Pour le tir à blanc, si cela est fortement conseillé, un bon démontage détermine si l'état de l'arme est en état de tiré ou non à blanc. Il faut vérifier, l'épaisseur du canon, l'état du tonnerre, le pas de vis de la cheminée, la largeur de la lumière au tonnerre, l'état des bracelets appelés aussi bandes, qui solidarisent le canon à la crosse, l'état de la crosse, éviter les entures importantes, l'effectivité du cran de sécurité, etc..
Le danger viendra alors du fait d'utiliser une arme prévue pour le tir à blanc, pour un tir de stand à balles même plomp.
Une baguette qui traverse la gorge, c'est une mauvaise manipulation. Je rappelle que d'après le règlement international, établi par un organisme américano germanique, le bourrage à la baguette est strictement interdit en matière de reconstitution guerre civile.
Si les marcheurs ne disposent pas de matériel convenable au sens historique du terme, il faut leur laisser qu'ils participent largement, et pour grande partie au moins, au développement de l'ambiance d'un camp par un apport de figurants dit de second plan.
L'activité de reconstitution n'est pas la même que celle de figuration, à chacun son truc.